Ici, on fait dans le simplisme. Le personnage principal s'appelle Rose et est donc habillé de cette couleur qui orne également la machine à écrire qu'elle promeut après avoir réussi à percer. Parlons justement de la réussite de ce personnage. Tout le monde semble s'extasier d'une secrétaire qui tape vite à la machine. Alors on est dans les 50's, mais ça ne rend pas les gens plus cons et je pense qu'ils avaient mieux à faire qu'à suivre ce genre de choses. L'intrigue amoureuse, elle, manque cruellement d'intensité et d'intérêt. Duris joue le stéréotype du mec qui refuse le bonheur après avoir vu ses potes mourir à la guerre ! C'en est hilarant de nullité tant ça semble être un cliché... On retrouve les personnages secondaires d'OSS 117 dont on ne comprend pas vraiment leur rôle alors qu'il ne sont que peu exploités. Le film repose en fait sur les épaules de la très belle et sensuelle Déborah François que l'on se plait à admirer. Hélas, ça ne suffit pas à sauver un film sans intrigue ni intensité.
MA NOTE : 1/4
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=197289.html
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